La commission des affaires étrangères auditionnait aujourd’hui la ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, Michèle Alliot-Marie (photo).
J’ai ainsi souligné le manque de communication et d’information à l’endroit de nos compatriotes expatriés, à l’image des 16 000 Français établis en Côte d’Ivoire. La mise en place d’un interlocuteur est une solution à envisager. J’en ai profité pour rappeler le rôle considérable des 2,5 millions de Français de l’étranger, à la fois comme relais d’influence et comme vecteurs de veille stratégique.
A ce titre et face à la complexité du droit anglo-saxon, j’ai fait remarquer l’importance de notre droit comme facteur d’expansion, à l’image des émissions organisées avec les notaires sur RFI, de l’école de droit de Roumanie, de l’Université des juristes francophones qui vient d’être créée. J’ai enfin salué l’idée du ministre d’un IHEDN (Institut des hautes études de défense nationale) à l’international.