Emmanuel Quidet est un Français de l’étranger comme on les aime, un homme de cœur et de convictions, un passionné de l’international qui assume sa réussite professionnelle sans jamais faire preuve d’arrogance mais en essayant toujours de servir au mieux son pays et ses compatriotes.
Juste après son diplôme de l’European Business School, il entre dans le célèbre cabinet international d’audit Ernst & Young il y a 26 ans, il y fait toute sa carrière passant des États-Unis au Gabon à l’Angola et à la Syrie. il est envoyé à Moscou en 1994 pour y créer le bureau de la société. Il recrute alors 5 personnes, ils sont aujourd’hui plus de 4000 et Emmanuel est devenu « Principal Partner ».
Il y a 15 ans, il crée la Chambre de Commerce et d’Industrie de Moscou, dont il est président depuis 5 ans. Il est également Conseiller du Commerce extérieur depuis 2001. Mais Emmanuel ne s’arrête pas là. Soucieux de développer la francophonie en Russie, il lance en 2002 le bi-mensuel « Le Courrier de Russie » et crée en 2004 un Samu social à Moscou pour venir en aide à tous les déshérités de cette mégapole où, peut-être encore plus qu’ailleurs les écarts de vie sont vertigineux.
Pour toutes ces actions au service de notre vitrine « France » et de nos compatiotes de l’étranger, Emmanuel Quidet vient de recevoir des mains de l’ambassadeur Jean de Gliniasty, sur proposition de Thierry Mariani et en présence du ministre à l’agro-alimentaire Guillaume Garot, de l’ancien Ministre fondateur du Samu Social et de Médecins sans frontières Xavier Emmanuelli et de plusieurs parlementaires russes, les insignes de Chevalier dans l’ordre de la Légion d’Honneur. Tous ses amis, dont je m’honore de faire partie, étaient eux aussi présents pour une soirée aussi mémorable que joyeuse au Palais Youssoupov, du nom d’un des principaux comploteurs contre Raspoutine, assassiné dans un autre Palais Youssoupov, celui de Saint-Pétersbourg.
Sa remise de décoration m’a donné l’occasion d’un déplacement à Moscou, au cours duquel j’ai pu rencontrer les responsables consulaires, les représentants de la communauté française de Russie et visiter le lycée et l’Institut français.
→ Voir le compte-rendu de mon déplacement à Moscou