Quel plaisir de retrouver Barcelone pour répondre à l’invitation de l’UFE Catalogne, mais aussi visiter le Lycée, y retrouver un proviseur très dynamique, Joëlle Emorine que j’avais déjà rencontrée lorsqu’elle était proviseur du lycée d’Ottawa, et faire un point avec le Consul général Edouard Beslay et son adjointe Nathalie Pradère (rencontrée elle à Montréal !) sur les spécificités de notre présence française (36 000 inscrits au registre consulaire, et sans doute encore près de 30 000 non inscrits) ainsi que sur le climat politique en Catalogne.
Un déjeuner de travail avec le Consul général m’a également permis d’évoquer les désirs d’indépendance de la Catalogne, en lien avec le rapport qui m’a été confié par la Commission des Affaires européennes sur le référendum écossais.
Barcelone est une des villes que je préfère au monde, et depuis longtemps. En 1979, de retour de Yale où j’avais étudié avec une bourse de la Fondation Rotary, j’avais eu l’honneur que l’on me demande de m’adresser par un discours à la toute première assemblée du Rotary d’Espagne international en Catalogne (réouvert avec le retour de la démocratie en Espagne, 4 ans après la mort du Général Franco) Et cette ville m’avait déjà marquée par son effervescence, son ouverture, sa soif de débats..
Cette fois-ci c’était un grand plaisir que de retrouver tant de vieux amis (et d’en faire de nouveaux !) lors de la soirée organisée par Laurence O’Neill du BcnClub et Pierre-Olivier Bousquet de l’UFE, avec Jean-François Berte, Raphaël Chambat et beaucoup d’autres…