Le 1er novembre dernier, j’ai interrogé le ministre de l’Europe et des affaires étrangères sur les modalités et les conséquences de la privatisation de l’école française André Malraux de Saint-Pétersbourg.
J’ai souligné l’opacité de la décision administrative de transférer à un opérateur privé russe cet établissement jusqu’alors filiale du lycée français de Moscou conventionné en gestion directe par l’agence de l’enseignement français à l’étranger (AEFE). J’ai insisté sur les risques d’un tel transfert.
J’ai demandé des éclaircissements sur les retombées financières de cette opération pour l’État.
J’ai enfin appelé à réagir pour sauver l’école française de Saint-Pétersbourg, par exemple en initiant une transformation de l’établissement en projet pilote d’école publique franco-russe.
A suivre…