Les Commissions, Délégations et Groupes (d’amitié, de suivi, etc.) sénatoriaux ne partagent pas encore d’agenda commun établi en fonction des pourcentages de présence et de la superposition des agendas de chaque Sénateur.
La matinée du 31 janvier est l’exemple parfait de ce problème : le jeudi matin est en effet réservé aux délégations et groupes de travail, mais il s’y greffe souvent des examens de textes en hémicycle. Ainsi, comment faire quand, comme moi, on appartient à la fois à la commission des affaires européennes et à une délégation (pour moi celle aux droits des femmes et à l’égalité des chances) qui se réunissent quasiment toujours à la même heure le jeudi matin ? Et ce matin du 1er février, se réunissaient aussi le groupe de suivi du Brexit et un groupe de travail de la commission des affaires culturelles sur l’audiovisuel extérieur dont je suis rapporteur.
Impossible donc de tout faire, sauf à avoir le don d’ubiquité.
Pour faire face à cet enjeu, des solutions numériques d’organisation logistique sont possibles, la bonne gestion de la ressource « temps » constituant la matière première de tout travail (parlementaire ou non) efficace.